jeudi 28 mars 2013

La Parenthèse inattendue du 27 mars 2013

Cette "Parenthèse" s'est révélée de facture banale. Certes on a remarqué que la barbe "négligée" était comme un signe de décontraction, de laisser-aller, une petite pointe de "dandysme" virilos, comme pour se différencier du pouvoir féminin qui monte, monte... Certains hommes semblent avoir peur de perdre pied et semble vouloir qu'on les différencie à tout prix... Ils ne veulent pas paraître "cadres" d'entreprise; bien rasés tout frais habillés pour courir les bureaux ou les clients... Ici, il faut donner le look relax, comme d'ailleurs certains écrivains qui semblent vouloir montrer qu'ils écrivent nuit et jour et n'ont pas le temps de s'occuper d'eux-mêmes, ainsi les vêtements avachis, les coiffures à la va-vite, le regard fatigué... Marie-Christine Barrault restait la même au milieu du trio d'hommes pleins de sollicitude. Quand vint l'heure des confidences les voix devinrent plus graves, les regards se mouillèrent, l'émotion nostalgique remontait. Cependant, maintenant que le scénario est bien rodé, l'inattendu s'est envolé. Frédéric Lopez a cherché à réveiller ses invités, mais on sentait que Marc Lévy, Marie-Christine Barrault s'étaient préparés et que la machine à remonter le temps enclenchait la crémaillère, le ton profond, le regard rêveur, la pose romantique... Un côté professionnel revenait. Ces grands communicants que sont ces stars jouaient sur du velours entre déjeuner, balade en vélo, pianoterie etc.
Nous ne sommes pas rentrés dans les grandes profondeurs. Peut-être que ces célébrités ne voulaient dire que ce qu'elles ont dit... pas plus... à moins qu'elles n'avaient rien d'autres à dire...
Respectons les silences.
Hermès

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